First part of a research-creation started in 2018, Abstract the real, the allusive figuration questions the derealization of the object in painting. In this work, theoretical research is based on plastic research, which determines the objects of research and the territories to be explored. Author and visual artists are gathered around the intimate links that connect them to their work: at what distance, through what failures, through what disciplines of work they are moving in their artistic research. To question the derealization of the object is to consider it as an abstract sign that unravels itself in the repetitions. The question of the motif is here at the heart of the preoccupations of writing. With the works of Agnes Martin, Anna-Eva Bergman, Markus Lüpertz and Camille Rivet.

Forth cover :
” What interests me in painting, is the process of derealization it implies. The very one who places the spectator in a vascillant recognition of what he thinks he is seeing on the canvas.This floating and seductive feeling of finding something familiar, brings us back continually to the artwork, with the hope of unveiling the mystery, without being able to leave it – the artwork as the mystery.”
Camille Rivet

8 copies printed in june 2019, 90 pages, 235 x 165 mm.

Premier volet d’une recherche-création amorcée en 2018, Abstraire le réel questionne la déréalisation de l’objet en peinture. Dans cet ouvrage, la recherche théorique s’adosse à la recherche plastique, celle-ci détermine les objets de la recherche et les territoires à explorer. Auteur.e.s et plasticien.ne.s sont réuni.e.s autour des liens intimes qui les relient à leur œuvre : à quelle distance, au travers de quels échecs, par quelles disciplines de travail cheminent-ils-elles dans leur recherche artistique. Questionner la déréalisation de l’objet, c’est l’envisager en tant que signe abstrait qui se défait de lui même dans les répétitions. La question du motif est ici au cœur des préoccupations de l’écriture. Avec les œuvres d’Agnes Martin, Anna-Eva Bergman, Markus Lüpertz et Camille Rivet.

4e de couverture:
« Ce qui m’intéresse en peinture, c’est le processus de déréalisation qu’elle implique. Celui-là même qui place le.la spectateur.ice dans une reconnaissance vacillante de ce qu’il.elle croit voir sur la toile. Ce sentiment flottant et séduisant de retrouver quelque chose que l’on pense connaître, nous ramène sans cesse à l’œuvre dans l’espoir d’en dévoiler l’énigme, sans pouvoir nous résoudre à la quitter, l’œuvre comme l’énigme. » Camille Rivet

imprimé en 8 exemplaires en juin 2019, 90 pages, 235 x 165 mm.